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C'est si peu dire...
20 janvier 2008

Dancing Queens

Dancing, puisqu’il s’agit de danse, et Queens puisque nous sommes en Australie (Queensland le pays de Thémiramis) et non pas un  hommage à ABBA et à « Dancing Queen pop » ?

dancingQueens

Là-bas, il y a de nombreuses école de danse qui se produisent et s’affrontent lors de concours, qu’on appelle « Eisteddfod ».

Nous suivons  deux de écoles concurrentes  qui sont respectivement dirigées par deux personnes très différentes :

M. Jonathon pour qui le ballet et la chorégraphie doivent délivrer un message et qui se sent investi d’une mission auprès de ses jeunes élèves : éveiller leur conscience. Pour cela il ose des thèmes engagés et passe pour un excentrique.

Et puis il y a Melle Elisabeth, très académique : discipline, rigueur, classicisme, régime, port de tête et de bras impeccables…

Entre rivalités et caprices, coup bas et crise d’hystérie des mères, comme Justine (Ah Justine, elle vaut son pesant d’or et j’ai adoré la scène où elle danse avec sa fille Tenille, lors d’une représentation destinée à récolter de l’argent pour le fameux concours), prêtes à tout pour assurer la victoire à leur enfant star, qui remportera le concours ?

                                    

Un film très sympathique avec des scènes fort drôles, des dialogues bien écrits avec de petites phrases assassines et des répliques percutantes.

Le réalisateur, Darren Ashton, a recréer l’ambiance de l’un de ces concours : demi finale et finale. Il nous semble assister à un documentaire style « striptease » .

Les différents personnages sont très attachants,  leurs traits de caractères sont très marqués mais ne verse jamais dans la caricature.

J’ai vraiment passé un bon moment et j’ai une peu pensé à « Little miss Sunshine »

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